En cas de décès d’un allocataire, le trop versé éventuel est dû depuis le premier jour du mois qui suit celui du décès :
- soit par les ayants droit,
- soit par la succession,
- soit par le curateur aux successions vacantes, lorsque l’héritier a renoncé à la succession, pour autant qu’un solde puisse être dégagé en faveur de l’Ircantec,
- soit aux établissements d’accueil pour le compte d’un retraité hébergé au titre de l’aide sociale, à défaut, par les organismes financiers gérant les comptes de l’allocataire.